Cale-toi au profond
De l'ombre que tu sais
Il n'est d'autre maison
Que tu puisses emporter
De saison en saison
Que l'ombre qu'Elle te fait
Et lorsqu'au cœur des villes, lointaine Elle cesserait de lui donner abri, il se réfugierait, sous l'épaisseur d'un livre. Et prenant ça et là des mots comme des baies, il s'endormirait libre, dans l'ombre qui se fait, au livre des forêts.
Alors comme en un rêve,
une voix chanterait...
Cale-toi au profond
De l'ombre que tu sais
Il n'est d'autre maison
Que tu puisses emporter
De saison en saison
Que l'ombre qu'Elle te fait
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire