Parce qu'il faudra reprendre les voix et les paroles qu'on nous avait léguées.
Parce que "rien n'est jamais acquis", ni la vie ni l'amour, ni le droit d'exister.
Parce qu'on ne saurait se fier à l'homme quand il "sait", sâchant qu'on ne sait rien de ce qu'il essaiera, lorsqu'il saura enfin qu'il ne sait presque rien.
Alors ils reprendraient cet étrange chemin, semé d'amères larmes, ponctué de chagrins, avec au fond de l'âme, comme un sanglot lointain, et la colère aussi de n'avoir pas su voir,
assez vite, assez loin...
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