Les cœurs humides
Fondent plus vite encore
Au soleil des yeux verts
Qu'en un désert aride
S'engouffre l'eau des airs
Dans les rides des corps
Et les plinthes des terres
Fondent plus vite encore
Au soleil des yeux verts
Qu'en un désert aride
S'engouffre l'eau des airs
Dans les rides des corps
Et les plinthes des terres
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire