samedi 30 janvier 2010




10 minutes à peine avant qu'il se pointe et je ne sais pas même quoi lui dire...

il va rappliquer c'est sûr, de partout à la fois, on ne verra plus que lui, précédé de ses coqs !

Son arrivée triomphante, inéluctable me peine...

j'eus aimé, ce matin, que la nuit s'éternise au moins jusqu'à demain...

Mais à quoi bon, il vient, le voici, il est là !

Ce nouveau jour serein à la gueule pérenne,

bruyant comme cent chiens lorsqu'il monte hors d'haleine,

à l'assaut du saurien comme aux portes du

ciel






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